La pratique sportive exige parfois d’être équipé de façon adéquate. C’est encore plus vrai lorsqu’il s’agit de pratiques sportives telles que le running. Les articulations reçoivent des chocs pendant les différentes foulées et c’est le corps entier qui est sollicité pendant l’effort. C’est pour ça qu’avoir les bonnes chaussures de running est très important. Nous allons découvrir dans les lignes qui vont suivre comment il faut procéder pour effectuer ce choix.
La morphologie du coureur
Quel que soit le poids du sportif, pendant l’effort ses muscles et ses articulations ont à supporter le poids total de son corps. Cela aide à choisir une bonne chaussure de running dans la mesure où il existe des modèles de chaussures selon les poids. Par exemple, au-delà d’un poids de 80 kilogrammes, il est plus avisé pour le Runner de se tourner vers des chaussures disposant de technologies additionnelles permettant d’adoucir les amortis.
Le détail de la foulée
Ce détail aide à choisir une bonne chaussure de running dans la mesure où il n’existe que trois types de foulées et des chaussures leur correspondant. Pour connaître sa foulée, il faut jeter un coup d’œil sur d’anciennes chaussures de course et observer où se situent les usures :
– La foulée est universelle lorsque les usures se situent à l’avant du pied. Cette foulée concerne 50 % des coureurs.
– La foulée est pronatrice lorsque les usures se trouvent à l’intérieur du pied. Ne sont concernés que 45 % des coureurs.
– Et enfin, la foulée est supinatrice lorsque les usures sont localisées au niveau de l’extérieur du pied. Seuls 5 % des coureurs sont concernés.
La fréquence de l’activité et la distance parcourue
Ces deux données sont importantes dans la mesure où par exemple une chaussure de running lourde n’aiderait pas un coureur qui parcourt fréquemment de longues distances. Les modèles basiques de chaussures de running conviennent à ceux qui courent une à deux fois par semaine sur une distance n’atteignant pas les 10 km.
Pour ceux qui courent plus de deux fois par semaine, soit pour atteindre un objectif ou pour préparer une compétition, il faut se tourner vers des modèles bien plus techniques et sophistiqués.
Le type de terrain
Le running sera plus ou moins facile à pratiquer si le modèle de chaussure adhère parfaitement à la surface où le running est pratiqué. On se retrouve face à trois options :
- Pour un terrain de type sentier de nature, le running nécessite une chaussure disposant d’une excellente accroche, car ce type de surface est plus ou moins accidenté
- Pour un terrain de type sous-bois, il faut des chaussures qui procurent une certaine sécurité
- Et pour un terrain de type route, il faut opter pour des chaussures résistantes et disposant d’excellentes semelles qui amortissent bien les chocs.
La pointure
Et enfin, on termine par la pointure et le design de la chaussure. Le running pouvant être éprouvant, il est important de se sentir à l’aise. Il faut donc que les chaussures ne serrent pas.